Signature du CPP dans le bloc Idjwi : « Finalement le Congo va bénéficier des retombées de ses ressources en matière d’hydrocarbures »[Thierry Monsenepwo, PCA de COBIL SA]
Le président du conseil d’administration du Cobil SA Thierry Monsenepwo s’est réjoui des avancées significatives enregistrées ces derniers temps dans le secteur des hydrocarbures.
À la suite de la signature du Contrat de partage de production entre la République Démocratique du Congo et les sociétés Winds Exploration et Alfajiri dans le bloc Idjwi du Lac Kivu du Samedi 09 Septembre dernier, Jean Thierry Monsenepwo s’est dit satisfait de la signature de ce contrat.
« Nous sommes en train de toucher du doigt la manifestation et la réalisation de la vision du chef de l’État qui a consisté à changer les paradigmes économiques de notre pays en allant vers une diversification de nos ressources. Parce qu’il ne faudrait pas que le Congo ne soit qu’un pays avec des potentialités mais aussi avec de réelles richesses. Le ministre Budimbu a été cette fer de lance qui a permis à ce que le secteur des Hydrocarbures aujourd’hui puisse réellement revivre en République démocratique du Congo »
a déclaré Thierry Monsenepwo.
Thierry Mosenepwo estime que la signature du Contrat de production est une première et une preuve que le Congo est sur une belle voie.
« La signature de ce contrat de partage de production est une première dans un grand lot qui va venir ensuite. C’est le signe que réellement ce qui a commencé par des études, la mise en vente des blocs pétroliers et aujourd’hui par la signature de contrat de partage de production est la preuve que nous sommes dans un bon chemin. Finalement le Congo va bénéficier des retombées de ses ressources en matière d’hydrocarbures »
a-t-il estimé.
Signalons que le contrat du CPP était signé par un consortium constitué de l’investisseur principal et la Sonahydroc.
D’après le média en ligne pétrogaz.cd le processus a été transparent pour protéger l’intérêt des Congolais afin que ce contrat puisse avoir un impact palpable sur l’économie de la République et le développement du secteur pétrolier. Selon la loi, la Sonahydroc a 20% dans toute association.
Joël Musema