Affaire Mobondo : Christophe Mboso non impliqué (Déclaration)
Christophe MBOSO N’kodia Pwanga n’est pas impliqué dans l’affaire Mobondo, c’est la précision apportée par son équipe de communication à la suite de propos tenus par un journaliste sur les réseaux sociaux impliquant MBOSO N’kodia Pwanga comme acteur commanditaire dans l’affaire Mobondo.
D’après la cellule de communication du deuxieme vice-président de l’Assemblée Nationale, le journaliste a invoqué les questions relatives aux fermiers MBORORO qui avaient traversé le pays de l’Est vers l’Ouest en 2012 sous prétexte de raisons agro-pastorales.
« Christophe MBOSO n’occupait aucune fonction étatique de 2011 à 2013. De ce fait, il ne pouvait engager ni le pays ni sa province d’une manière ou d’une autre. Par contre, il n’était même pas consulté pour des raisons politiques et des prises de décisions, car marginalisé par les siens. Vouloir l’inclure dans cette affaire n’est que la pire machination relevant d’une ignorance ourdie » indique l’équipe de communication de Christophe Mboso.
Christophe Mboso, selon les dires de son équipe, a toujours été contre la vente ou la cession de terres, source de plusieurs conflits fonciers au pays. Il en parla, le rappelle et en parlera toujours. De tous les fermiers, concessionnaires et propriétaires de terres à KWAMOUTH dans le plateau de Bateke.
« Rappelons à l’opinion que Christophe MBOSO n’y possède aucune ferme et/ou aucune portion de terre. Bien que l’élément déclencheur du conflit ait impliqué quelques fermiers yakas et les chefs de terre Tekes, le feuilleton de Kwamouth n’a rien à voir avec un conflit tribal. Le Cardinal AMBONGO, en tournée dans les diocèses de l’ancien Grand Bandundu, s’est rendu compte qu’il n’y avait pas de conflit tribal entre Yakas et Tekes » rajoute ce communiqué lu par Priam Nkosi, l’un des membres de la Cellule de communication de Mboso.
À signaler que le deuxième vice-président de l’Assemblée nationale dit se réserver le droit de saisir les instances judiciaires et exiger réparation.