Éric Kamba : Parcours d’un patriote engagé pour la renaissance du Congo

1 – Mes Racines : entre identité et conscience nationale

Je suis Éric Kamba, fils de la République Démocratique du Congo. Je suis né au cœur d’un pays riche, magnifique et plein de promesses, mais profondément meurtri par les blessures de l’histoire, les trahisons politiques, et les ambitions mal placées de ceux qui devaient le servir. Très tôt, j’ai compris que ma vie ne pouvait pas être neutre. Grandir dans un Congo brisé par la pauvreté, l’injustice et l’insécurité m’a poussé à m’interroger : que puis-je faire, moi, en tant que citoyen, pour inverser le cours des choses ?

C’est cette question, obsédante et vitale, qui m’a conduit sur le chemin de l’engagement. Un engagement politique, intellectuel et humain, toujours au service de mon peuple. Mon parcours n’a pas été linéaire. Il est fait de luttes, de sacrifices, d’exils volontaires, mais surtout de convictions solides. Convictions que je porte encore aujourd’hui comme un flambeau.

2 – Mes Études : forger l’intelligence pour servir le peuple

Mon parcours académique commence en République Démocratique du Congo, où j’ai étudié les sciences politiques. J’y ai acquis les fondements de l’analyse du pouvoir, de la gouvernance et du rôle central des institutions. Mais rapidement, je me suis rendu compte que pour mieux servir mon pays, il me fallait ouvrir mes horizons.

C’est ainsi que j’ai poursuivi mes études aux États-Unis, à la Boston University, une expérience qui a transformé ma vision du monde. Là-bas, j’ai pu me former à des disciplines stratégiques : la diplomatie, la gouvernance publique, la santé communautaire, l’évaluation de programmes sociaux, la résolution des conflits et bien plus encore. J’ai compris que le développement d’un pays ne se résume pas à une croissance économique : il repose sur une vision globale, humaine et durable.

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Ces années passées à Boston ont renforcé ma volonté de devenir un acteur du changement pour la RDC. Mon esprit critique s’est affûté, mon sens de la responsabilité renforcé. J’ai appris que l’intégrité n’était pas une option, mais une exigence pour quiconque aspire à diriger une nation.

3 – Mon Expérience : entre terrain politique et engagement international

Mon engagement ne s’est jamais limité aux bancs de l’université. J’ai toujours voulu conjuguer pensée et action. En RDC, j’ai été candidat à la députation nationale dans la circonscription électorale de la Funa. J’y ai mené une campagne honnête, ancrée dans les réalités du peuple, avec un programme ambitieux mais réaliste. Malheureusement, les fraudes orchestrées par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) ont volé la voix du peuple. Mais elles n’ont pas volé ma détermination.

En parallèle, j’ai aussi mis mon expertise au service d’autres luttes : aux États-Unis, j’ai participé comme volontaire aux campagnes présidentielles de Barack Obama et Joe Biden, une école politique exigeante où j’ai appris l’art de mobiliser, d’écouter, de convaincre, et surtout de rester fidèle à ses valeurs.

J’ai également publié de nombreux articles et ouvrages dans des revues sérieuses, y compris scientifiques, sur les questions de gouvernance, de souveraineté, de justice sociale et de diplomatie en Afrique. Ces écrits sont une autre manière pour moi de porter la voix des sans-voix.

4 – Ma Vision : restaurer l’honneur et la souveraineté du Congo

Aujourd’hui, le Congo est à la croisée des chemins. Riche en ressources mais pauvre en leadership, immense mais morcelé par les conflits, convoité mais trahi de l’intérieur. La population souffre. L’État vacille. La jeunesse perd espoir.

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Ma vision est simple : rendre aux Congolais leur dignité. Cela passe par :
   •   Une réforme profonde des institutions, pour mettre fin à la corruption et à l’impunité ;
   •   La restructuration de l’armée et la protection de l’intégrité territoriale ;
   •   La diplomatie offensive et souveraine, face aux ingérences étrangères ;
   •   La justice sociale et économique, pour que chaque Congolais sente que sa vie a de la valeur ;
   •   L’éducation, la santé et l’emploi, comme piliers du développement national.

Je crois que la renaissance du Congo est possible. Mais elle ne se fera pas avec les mêmes visages, les mêmes systèmes, les mêmes trahisons. Elle exige des hommes nouveaux, avec des idées neuves et des cœurs sincères.

5 – Mon Appel : je suis prêt, pour le Congo

Je n’ai jamais cherché la gloire personnelle. Je cherche la justice, la vérité, le changement. Si je prends la parole aujourd’hui, c’est parce que je crois que le moment est venu pour notre pays de rompre avec les impostures du passé.

Je suis Éric Kamba. Je suis prêt à servir. Je suis prêt à diriger. Non pas pour m’enrichir, mais pour sortir notre peuple de la misère, restaurer l’espoir, et libérer le Congo des chaînes visibles et invisibles qui l’étouffent.

Je m’adresse à vous, peuple congolais, avec respect et conviction : Faites confiance à ceux qui n’ont jamais trahi. Faites confiance à l’expérience, à la compétence, et à la conscience. Faites confiance à Éric Kamba.

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